2022 : 30 bougies pour Ortec
2022 : Bienvenue ATMNI !
2022 : Ortec renforce ses positions au Canada
2021 : Spécialiste de la fabrication de structures subsea
2021 : OGD + Soléo = Ortec-Soléo
2021 : Dépollution par adsorption thermique
2021 : Dépollution par adsorption thermique
2020 : Un savoir-faire reconnu en métallurgie
2020 : Démarrage du contrat EAS-u auprès d’EDF
2019 : Brunet remporte un marché auprès de Nantes Métropole
2019 : Logistique pétrolière sur le forage de Kari
2018 : Un chantier de dépollution hors-norme en bord de Seine
2018 : Au chevet du Château de Versailles
2018 : Deux nouveaux contrats sur le projet ITER
2018 : Renforcement de l’entité Sonovision en Inde
2018 : Contrat-cadre pour le raccordement de six fermes éoliennes offshore
2017 : Année charnière pour le projet D.U.S
Après avoir participé à la phase d’études préliminaires du programme d’installation des DUS (Diesels d’Ultime Secours) dans les centrales nucléaires françaises, Ortec engage les travaux sur 38 des 58 réacteurs. Fin du déploiement fin 2018.
2016 : quatre pôles au service des clients
Le Groupe se restructure autour de 4 pôles : Engineering, Contracting France, Contracting International et Global Services. Cette nouvelle organisation vise à répondre encore plus efficacement aux problématiques des clients en alignant les expertises métiers aux secteurs d’activités.
2013-2017, les acquisitions se poursuivent
Ducamp en 2013, Sonovision en 2014, Cico Centre et VDLS en 2015, Brunet en 2017 : les différentes acquisitions du Groupe permettent à Ortec de renforcer sa présence dans les domaines du service à l’environnement, de l’ingénierie aéronautique et aérospatiale, du nucléaire civil ou encore de l’électricité, du courant faible et du génie climatique.
2008, L’homme toujours plus au centre
2006, une nouvelle dimension : 2005, création de Valortec
Valortec, le premier centre de traitement du groupe, est créé à Rognac (13), suivi de plusieurs autres. À partir de 2012, Ortec développe des biocentres pour traiter les terres polluées via la technique du biopile : une dégradation naturelle obtenue par stimulation de l’activité bactérienne. En 2013, l’acquisition de Ducamp permet au groupe de renforcer son offre avec trois centres supplémentaires : Antipol, TRD et VTS.
2004, la diversification se poursuit
Oralys, une agence autonome regroupant les activités d’ingénierie administrative, voit le jour alors que le Groupe Ortec poursuit son développement dans tous les domaines, y compris à l’international. Ortec commence notamment à transférer ses métiers « historiques » du secteur pétrolier et de l’environnement sur le continent africain.
2002, mise en place du plan Ortec Vigilance
Lancement d’Ortec Vigilance, un véritable plan de bataille pour améliorer les performances du groupe en sécurité. En 2003, à l’occasion des « États généraux de la sécurité », les chefs d’agence et correspondants QSE d’Ortec, signent des contrats pour renouveler leur engagement pour la sécurité, en mettant en œuvre des plans d’action personnalisés au sein de chaque entité.
2000, premier forum des décideurs de l’industrie
Le groupe organise son premier Forum des décideurs de l’industrie, sur le thème de l’externalisation. A cours de cet événement, où les plus grands clients d’Ortec étaient réunis – tous les convives ont été invité à réfléchir et échanger sur des thèmes liés à l’économie et à l’industrie. Rebaptisé O.Forum, il est devenu un rendez-vous incontournable et attendu par tous les professionnels reconnus dans le secteur.
1999, les débuts du concept de contrat global
Ortec est présélectionné par BP pour assurer la gestion de la maintenance de la raffinerie de Lavéra (13), toutes activités confondues : montage, levage, mécanique, tuyauterie, déchets, nettoyage industriel, électricité, génie civil, peinture, et même les espaces verts. Pour emporter le contrat, Ortec initie un groupement d’entreprises au sein de la société NCM (Nouveau Contrat de Maintenance). Succès pour la réalisation de ce contrat – orchestré par le groupe – qui préfigure le nouveau concept de Global Services, qui constitue aujourd’hui l’offre principale du groupe.
1997-1998, création de nouvelles filiales
Le Groupe Ortec continue sa progression et sa diversification dans de nombreux secteurs : création de la filiale Orsem – dédiée à la valorisation de boues industrielles non toxiques et de terres polluées, d’Orys – spécialisée dans la maintenance nucléaire, d’Ortec-GSI – experte de la dépollution des sols et sous-sols.
1996, Ortec, le déploiement : Friedlander rejoint le Groupe
Grâce à l’acquisition de Friedlander, Ortec double sa capacité d’intervention et renforce son réseau national et international, notamment en Afrique. Il devient l’interlocuteur privilégié des industriels par l’obtention de contrats pluriannuels. 1996 est aussi l’année où le groupe déménage son siège, de Vitrolles à Aix-en-Provence 13).
1995, les premiers contrats « Usine propre »
Ortec lance ses premiers contrats « Usine propre », conçus pour proposer à ses clients une gestion globale des déchets issus de leurs usines ou établissements. Ces types de contrats continuent à rencontrer un vif succès.
1994, de beaux projets dans l'énergie
Ortec est chargé par le CIPN (Centre d’Ingénierie du Parc Nucléaire) d’évacuer les couvercles de l’ensemble des centrales nucléaires françaises. Pour réaliser cette opération, le groupe met en place un système de vérins à câbles modulaires, transportable et démontable, qui servira 10 ans plus tard à évacuer les générateurs de vapeur.
1992-1993, l’environnement, un secteur porteur
Le Groupe Ortec se fait connaître en réalisant de grands chantiers dans le domaine de la gestion des déchets et de la dépollution, comme à l’usine de Grande Paroisse, un fabricant d’engrais azotés au sud de Toulouse.
1992, l'indépendance d’Ortec
Via une opération baptisée « Ortec rachète Ortec », les cadres dirigeants d’Ortec rachètent leur entité par LMBO (Leverage Management Buy-Out) : ils engagent leur épargne personnelle, le reste étant financé par un emprunt bancaire. Cette opération signe la naissance officielle d’Ortec, groupe de services à l’industrie indépendant à actionnariat privé, prêt à se lancer dans une nouvelle aventure.
1987-1989: naissance d’Ortec
Avec le rachat de Buzzichelli en 1987, le DMIE renforce son potentiel de réalisation de travaux en propre et complète son offre dans le montage, le levage et la tuyauterie. Il propose des activités de construction (travaux neufs) et se diversifie dans le secteur nucléaire. En 1989, un nouvel ensemble se créé, rassemblant 20 filiales du DMIE et de Buzzichelli. Il est nommé Ortec.
1985, création du DMIE
Les métiers complémentaires intervenant dans le secteur industriel sont regroupés au sein du Département Maintenance Industrielle et Environnement (DMIE), qui réunit les agences industrielles et le SOM, soit une équipe de 300 personnes.
1980, création de SOM
Au sein de Onet, département du groupe spécialisé dans le nettoyage, André Einaudi crée le SOM (Service, Organisation, Méthodes). L’enjeu, dans un premier temps, est de répondre au Groupe Total à la recherche d’un intervenant pour organiser le premier arrêt de production de sa raffinerie de La Mède. Cette structure, qui permet d’externaliser entièrement l’arrêt, tout en garantissant des délais de réalisation plus courts et un niveau optimal de sécurité et de qualité, est rapidement sollicitée par de nombreux autres industriels de l’Étang-de-Berre (13).
1952 : Fondation de Buzzichelli
Dante Buzzichelli lance à Martigues (13) une société de levage. Son fils Lilian emboîte ces pas en créant une seconde structure en 1957. Les deux fusionnent en 1960 et s’installent à Toulouse sous le nom de Société Anonyme des Entreprises Buzzichelli. Elle exerce deux activités : le levage et le montage mécanique. À partir de 1973, la société participe à la construction de plateformes pétrolières offshore en Mer du Nord, puis à partir de 1975, à celles des centrales nucléaires françaises. En 1983, Buzzichelli reprend Setip, une entreprise de Vitrolles spécialisée en installation de tuyauterie.
1936 : Création de Friedlander
Ferdinand Friedlander crée une chaudronnerie afin de réaliser des travaux de maintenance pour les huileries et savonneries marseillaises. Son gendre Pierre Duclot, reprend l’affaire en 1951 et diversifie sa clientèle en se tournant vers les grands acteurs de la pétrochimie, puis du nucléaire. En 1956, Friedlander réalise la tuyauterie de refroidissement des turbines du réacteur G1 de Marcoule. En 1978, un an après avoir été reprise par le groupe GTM, elle pose pour la première fois le pied en Afrique, en participant à la construction de la raffinerie SIR (Société Ivoirienne de Raffinage).