Rencontre avec Lauriane L., ingénieure en milieux aquatiques
Exercer sa passion dans son activité professionnelle. C’est ce qu’est en train de vivre Lauriane L. au sein de la filiale SOM du Groupe Ortec. Son territoire ? Les milieux aquatiques. Le champ est vaste ! « C’est toute la richesse de mon métier » assure celle qui est en poste chez Ortec depuis octobre 2017, entrée par cooptation pour un poste de « chef de projet Environnement ».
Ortec engagé sur les défis environnementaux
Le métier est riche et prenant parce que diversifié et au contact de différents acteurs et décideurs, que sont les collectivités territoriales, les grandes entreprises ou des particuliers.
Originaire d’Auvergne, Lauriane termine ses études – réalisées entre Tours et Paris – avec un diplôme d’Ingénieur en milieux aquatiques en poche.
Quand elle parle de « passion » pour son métier c’est qu’il rejoint « sa sensibilité à l’environnement au sens large, pour in fine œuvrer à la protection de la planète ». Aujourd’hui, les chantiers ne manquent pas. Et sont souvent de taille. Le Groupe Ortec s’engage à les mener au nom des valeurs qu’il défend et partage. « Il y a beaucoup de travail, pas toujours simple » assure Lauriane.
Le Groupe Ortec, qui intervient au national dans toute la France, est en mesure de réaliser des études de marchés publics, de restauration de cours d’eau en réunissant une bibliographie technique et en livrant des diagnostics après les investigations de terrain. Des missions plus ponctuelles sur des ouvrages hydrauliques en matière d’accessibilité peuvent également être réalisées. Les équipes de SOM partagent donc leur travail entre interventions sur site et études en agences au moyen d’outils cartographiques de pointe.
Exercer un métier de passion dans son entreprise
En fonction des projets menés, les interlocuteurs sont de nature différente : « Cela peut être l’Agence de l’Eau, les Communautés de communes, des syndicats de rivières et parfois même des particuliers lorsqu’il s’agit d’ouvrages sur des propriétés privées » explique Lauriane. A chaque fois, le succès de la collaboration repose sur « la concertation, l’assurance du maintien de la valeur patrimoniale et la restauration selon des méthodes écologiques ». L’écologie justement. Pour Ortec, le défi est omniprésent. C’est aujourd’hui un des fondements de son activité au quotidien avec une démarche en totale corrélation avec la législation en vigueur.
« Notre métier connaît régulièrement des évolutions qui sont dues à la règlementation qui change souvent » insiste Lauriane. « Certaines lois s’allègent, d’autres se durcissent. Mais la tendance est plutôt positive. On note une volonté des institutions et du public à aller vers plus d’écologie. Les nouvelles générations y sont très sensibles ». Ce qui n’a pas toujours été le cas par le passé où les problématiques environnementales ont parfois eu du mal à trouver leur place.
Les conditions sont donc aujourd’hui réunies pour réaliser des ouvrages de qualité, dans le respect des normes environnementales en vigueur et avec la satisfaction des clients.
« Nos arguments sont ceux de la plus-value écologique que nous apportons, la sécurité des réalisations sans détruire les lits ni les berges et enfin l’enjeu pour les usagers car ces plans d’eau peuvent ensuite redevenir accessibles au grand public ».
L’heure est à l’optimisme et aux potentialités pour aller de l’avant, vers de nouveaux projets de grande ampleur. « La collaboration entre tous les acteurs se passe bien car il y a une volonté commune d’améliorer le cadre de vie. Chacun à notre échelle, nous pouvons peser sur ces enjeux. Ces défis environnementaux font partie de mon travail et j’y trouve du sens au quotidien. Savoir que le Groupe Ortec en fait une de ses priorités ne peut qu’inciter à poursuivre dans cette voie ».
Découvrez la vidéo sur la renaturation des milieux aquatiques :